Les races humaines

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septembre 19, 2012 par Sororité Aryenne


par Brigid Trismegiste

              et Yoo Mee Shin

Parmi les nombreuses billevesées écrites à ce sujet, la plus courante est : les races n’existent pas

 

Tiens donc! Elles existeraient chez les chats, les chiens, les chevaux, mais pas chez les hommes? Alors sur quoi se base le gouvernement américain pour les fameux quotas, on se le demande!

 

Ensuite vient : les races pures n’existent plus car il y a eu trop de brassages

 

Là nous avons une double confusion: d’une part ces détracteurs veulent parler de races originelles, et là encore ils sont dans l’erreur: la majorité des espèces féline et canine est composée de “chats de gouttière” et de “bâtards”, ce qui n’empêche que des races bien précises, et nombreuses, existent en parallèle. Quant à la notion de race pure, elle désigne une race stabilisée qui peut avoir été composée par métissage de deux ou plusieurs races déjà existantes, puis sélection des descendants; chaque année les éleveurs créent de nouvelles races de cette façon.

 

Et pour finir, le plus stupide : Il n’y a qu’une seule race, la race humaine . Les abrutis qui se gargarisent de cette formule devraient revoir leur biologie: le terme de race est une notion taxinomique, il s’agit de la subdivision d’une espèce vivante. Une espèce rassemble des individus interféconds et qui ont une descendance pouvant elle aussi donner une descendance. Donc je le répète , parler de “race humaine” equivaudrait à prétendre qu’il existe une ou plusieurs autres races non-humaines avec lesquelles nous sommes susceptibles de nous reproduire!!!

 

Les analyses ADN montrent ainsi que l’espèce humaine partage le même patrimoine génétique à 99,8 % . Mais elle possède déjà un peu plus de 98,6 % de son génome en commun avec les chimpanzés ! Pourtant nous en sommes bien différents, non?

 

Le terme de race est une notion taxinomique, il s’agit de la subdivision de l’espèce vivante, laquelle est elle-même ramification du genre.

 

Exemple : le genre Canis ( les canidés) comprend quatre espèces : le chien ( canis familiaris ) , le loup ( canis lupus) , le renard ( canis vulpes ) et le chacal ( canis aureus ). Le genre Felis ( les félidés ) comprends cinq espèces, le chat ( félis catus ) , le lion ( félis leo) , le tigre ( félis tigris ) , le jaguar ( félis ornas ) et le léopard ( félis pardus) . Certaines de ces espèces sont à leur tour subdivisées en races . Les races sont interfécondes , les espèces non . Et ainsi de suite, y compris bien entendu pour l’homme !

 

Son représentant actuel — c’est-à-dire nous tous — est le seul constituant actuel du genre Homo, les autres espèces, une quinzaine en l’état actuel des connaissances paléoanthropologiques, sont éteintes. Homo sapiens est une espèce et non une race . Le terme de “race humaine” est donc un contre-sens nomenclatural, il est aussi absurde que de parler de “race féline” ou de “race canine” .

 

Des individus d’une espèce différente ne sont pas hybridables ( hormis de rares cas comme le loup avec certains chiens ) , ou donnent des hybrides stériles ( exemple : le mulet ) .Une espèce rassemblant des individus interféconds** et qui ont une descendance pouvant elle aussi donner une descendance , le terme “race humaine” équivaudrait à prétendre qu’il existe une ou plusieurs autres races non-humaines avec lesquelles nous sommes susceptibles de nous reproduire!!!

 

Comme toute espèce, Homo sapiens est divisé en races. Trois grand’races², elles-mêmes ramifiées en races-types.

 

Différences morphologiques:
Race blanche : leucodermes
Race jaune : xanthodermes
Race noire : mélanodermes

Les cheveux constituent aussi un caractère important: souples chez les Blancs, raides chez les Jaunes et crépus chez les Noirs , leur section est également plus ou moins ovalaire: le quotient de plus petit diamètre et du plus grand donne 40 à 60 chez les Noirs, 60 à 80 chez les Blancs et 80 à 100 chez les Jaunes.
Différences physiologiques:

 

Le muscle petit palmaire ( muscle fléchisseur de la main et du poignet) fait défaut à 19% des Blancs mais seulement 5% des Noirs, qui présentent également une longueur importante de l’appendice iléo-caecal ( appendice du gros intestin ) ainsi qu’un nombre beaucoup plus grand de glandes sudoripares. La pression artérielle est plus basse chez les Jaunes que chez les Blancs. La rate est plus petite chez les Noirs ( 86-115g ) que chez les Blancs ( 130-140g ) . La sensibilité olfactive des Indonésiens est de 2 à 3 fis plus vive que chez les Blancs, mais ces derniers ont le sens gustatif plus développé. L’urine des Jaunes a une composition différente de celles des Blancs, elle comporte une quantité d’azote plus faible ( 6 à 12g/jour contre 15 à 18g ).

 

le temps de gestation des femmes mélanodermes et inférieur à celui des femmes leucodermes ( http://dumas.ccsd.cnrs.fr/docs/00/62/39/29/PDF/memoire_esfbaudelocque_sackett.pdf ). La croissance n’est pas semblable d’une race à l’autre: chez les Blancs, elle est surtout rapide de 7 à 12 ans, chez les Jaunes, de la naissance à 7 ans, puis à nouveau entre 12 et 15. Les modalités de la croissance partielle varient également, durant la première enfance ce sont surtout les membres inférieurs qui croissent chez les Noirs, et le tronc chez les Blancs. Les nouveaux-nés Blancs sont plus lourds que les Noirs et les Jaunes. Les prémolaires apparaissent plus précocement chez les Blancs que chez les Noirs, alors que c’est l’inverse pour les incisives et les canines.

Exemples de répartition par type de population

Les proportions des groupes sanguins ne sont pas non plus identiques d’une race à l’autre: les Indiens d’Amérique, les Philippins, les Esquimaux appartiennent en grande majorité au groupe O, et très peu aux trois autres. Les Européens occidentaux, par contre, comptent une grande proportion d’individus A, mais en ont peu de B. Le type le plus riche en individus B englobe, les Hindous, les Chinois du nord, les Mandchous et les Tziganes. En Europe, le rhésus négatif est possédé par à peu près 85% de la population blanche , mais seulement 5 à 10% en Afrique du nord et au Moyen-Orient , moins de 1% chez les Noirs d’Afrique , et n’existe pas chez les Jaunes.

 

Différences psychiques:

 

Le métabolisme de base (MB) correspond aux besoins énergétiques “incompressibles” de l’organisme, c’est-à-dire la dépense d’énergie minimum permettant à l’organisme de survivre ; au repos, l’organisme consomme de l’énergie pour maintenir en activité ses fonctions (cœur, cerveau, respiration, digestion, maintien de la température du corps), avec des réactions biochimiques . Il dépend de la taille, du poids, de l’âge, du sexe et de l’activité thyroïdienne et est , pour des sujets de taille, âge et poids identique, différent selon les races*. Ces différences doivent êtres mises en rapport avec l’insuffisance thyroïdienne des Mongols, qui fait baisser le métabolisme basal ou au contraire l’hyperthyroïdisme des Mayas, qui le fait croître. La thyroïde ou glande thyroïde est la plus volumineuse des glandes endocrines (sécrétant des hormones) chez l’être humain, or les glandes endocrines, selon le taux de leurs sécrétions, entraînent des modifications de l’équilibre psychologique.

 

Les glandes endocrines présentent donc d’importantes variations raciales, mais pas seulement elles : le niveau d’activité des glandes surrénales est plus faible chez les Noirs que chez les Blancs, ce qui se traduit par une  augmentation de la teneur du plasma sanguin en  potassium, mais par une diminution en chlore et en sodium. Or ces glandes surrénales favorisent le dynamisme général et augmentent la résistance aux agents perturbateurs extérieurs: il est donc naturel que les races en possédant le niveau d’activité le plus élévé aient une concentration supérieure sur leurs projets, et donc évoluent mieux que les autres. Une supériorité glandulaire héréditaire donne à la race qui la possède une supériorité évolutive sur les autres races.Ces quelques notions relèvent de la biotypologie , une science cherchant à définir la personnalité humaine par l’ensemble de ses aspects: morphologique, physiologique et psychique. Il n’est ici pas plus question de hiérarchiser les races humaines que celles de chats, ou de chevaux,  mais de définir le style d’expression des potentialités de chacune, leur diversité étant un don de la Nature que nous devons préserver à tous prix car reconnaître les différences entre races est une simple question de respect du psychisme de chacune : on ne fait pas courir le tiercé aux percherons pas plus qu’on n’attelle les pur-sang à une charrue, et tout le monde s’accorde à reconnaître que le chat siamois a plus de caractère que le chat persan.

 

* celui des Mayas du Yucatan est de 5 à 8% plus élevé que celui des Blancs, et chez les Négrilles cette supériorié est de 50%; le métabolisme basal des Blancs est supérieur à celui des Australiens (20%), des Chinois et des Philippins.

 

** sauf impossibilité morphologique : ainsi, un chien Saint-Bernard ne pourra saillir une chienne Chihuahua, et si on recourt à l’insémination artificielle, on encourt le risque que la gestation distende la femelle jusqu’à éventration.

 

                Le processus de formation des races humaines

 

Lors de la dernière grande glaciation de l’ère quaternaire, de -120 000 à -10 000, les glaciers rendirent impraticables les chaînes de montagnes qu’ils recouvraient en formant de gigantesques barrières qui divisèrent le monde en trois zones distinctes: les masses glaciaires de l’Himalaya, continuées à l’Ouest par celles du Caucase et de l’Iran, isolèrent le Sud. Se greffant sur elles au Pamir, les glaciers de l’Altaï, prolongés par ceux dominant le lac Baïkal, coupèrent la région Nord en une partie orientale (correspondant aux actuelles Chine et Mandchourie) et une occidentale correspondant à la Sibérie d’aujourd’hui. En Europe, tout le Nord du continent était recouvert d’une calotte de glace de la Scandinavie à l’Allemagne, les glaciers des Alpes s’étendant jusqu’au Sud de la Bavière et à la région lyonnaise, etc…

 

L’isolement de ces trois zones et de leurs populations d’hominiens permit la formation des trois grand’races:

 

– au Sud de la barrière irano-himalayenne des êtres à cheveux laineux ou crêpus, peau foncée et nez large, ancêtres des races noires: les Sud-Hominiens.

 

– au Nord de cette même barrière et à l’Est de celle de l’Altaï, des individus à cheveux raides et épidermes jaunâtres, ancêtres des races mongoles et assimilées: les Est-Hominiens

 

– au Nord de la barrière mais cette fois à l’Ouest de l’Altaï, des hommes aux cheveux ondulés, à la peau claire et au nez étroit, les précurseurs des races blanches: les Ouest-Hominiens.

 

C’est l’essaimage de tous ces groupes dans les seules directions alors disponibles qui ont donné les races humaines que nous connaissons actuellement. Or, si les premières manifestations de l’art préhistorique datent de la fin du Paléolithique moyen, celui-ci ne prit une réelle ampleur qu’au début du Paléolithique supérieur (-30 000 à -12 000, date à laquelle les races étaient strictement dissociées: chacune a donc créé sa propre culture et évolué indépendamment des autres, fixant ainsi des différences non seulement physiologiques, mais aussi psychiques et culturelles. Cette séparation multimillénaire infirme totalement la thèse monogéniste (s’accordant avec le récit biblique de la Création) selon laquelle tous les types humains ont la même origine, et confirme au contraire que les races humaines actuelles descendent de plusieurs couples. Seul le polygénisme, système anthropologique soutenant que les différents types humains ont des origines différentes, est donc historiquement recevable.

Réfutation d’un important argument antiraciste

Les antiracistes prennent acte de la découverte scientifique des haplogroupes pour prétendre que les races humaines inexistent : des recherches effectuées sur les ADN mitochondriaux et sur l’évolution du chromosome Y ayant permis de retracer l’arbre généalogique de l’humanité en suivant tant le lignage maternel que paternel, il en résulta que la population masculine mondiale se divisait en 26 lignées (haplogroupes) héritières d’un ancêtre commun et la population féminine en 33, également héritières d’une ancêtre commune. Et dans ces haplogroupes respectifs on trouve, en effet, des personnes de toutes couleurs, taille et physionomie. « Voila donc la preuve » braient alors les antiracistes dans leur arrogante fatuité « que les races humaines n’existent pas« … or le classement par haplogroupes est d’une grande absurdité, et ce pour plusieurs raisons:

– le dauphin est un mammifère, biologiquement plus proche de nous que des poissons avec qui il partage pourtant son habitat et son allure générale. Une étude de son ADN montrerait donc qu’il partage avec nous un fort lointain ancêtre commun, et pourtant il ressemble plus à un piscidé, avec lequel il n’en a point,  qu’à un hominidé – tout comme deux humains d’un même haplogroupe peuvent paraître fort dissemblables, et deux personnes d’aspect très similaires appartenir à des haplogroupes bien distincts.  Mais en quoi cela infirme t-il le fait qu’il y a plusieurs races de dauphins, dont les caractéristiques se transmettent des ascendants aux descendants? En rien.

– il y a de par le monde des gauchers, des diabétiques, des hypocondriaques, etc… de toutes tailles, corpulences et couleurs. Certaines affections, mentales ou physiologiques, sont même héréditaires, et les mêmes traitements médicaux s’avèrent efficaces sur chaque patient sans distinction de race ou d’ethnie. A t-on jamais pour cela classé l’humanité par gauchers, dépressifs ou hyperactifs? Non. Et pourquoi? Parce que les civilisations ont été crée par des races biologiques ou historiques,  et non par des collectivités de daltoniens, d’atrabilaires, de sourds-muets ou… de gens partageant le même haplogroupe! – et enfin, si vraiment il n’y avait pas de races, statistiquement un couple de personne de même race ne devrait mettre au monde un bébé de la sienne qu’une fois sur trois environ… or depuis que l’humanité existe, à une écrasante majorité des Noirs font de petits Noirs, les Asiatiques de petits Asiatiques et les Blancs de petits Blancs!

Répartition des races-types de par le vaste monde
La biotypologie est une science cherchant à définir la personnalité humaine par l’ensemble de ses aspects: morphologique, physiologique et psychique. L’indice céphalique est le rapport entre la largeur maximale et la longueur maximale du crâne humain mesurées dans le plan horizontal: largeurx100 / longueur.
* IC < 75 : dolichocéphale
* 75 < IC < 80 : mésocéphale ou mésaticéphale
* IC > 80 : brachycéphale
Races-types de la grand’race jaune
La grand’race “jaune” occupe l’Asie Orientale et toute l’Amérique ainsi que de nombreux archipels du Pacifique. Elle se subdivise en huit races-types:
– la race nord-mongole : Bouriates, Yakoutes, Toungouses, Samoyèdes, Kalmouks – taille assez petite, crâne brachycéphale ( indice céphalique 85/87 )
– la race centro-mongole : Coréens, Tibétains, Birmans et une grande partie des Chinois – un peu plus grande que la précédente, avec crâne mésocéphale ( indice céphalique 78 )
– la race sud-mongole : Chine méridionale, Japon, Tibet et Indochine – indice céphalique 80/84
– la race paléosibérienne ou ouralienne : Europe Orientale aux Sibéries Orientales et Occidentales – petite, crâne mésocéphale, caractères xanthodermes moins marqués que les trois précédentes.
– la race eskimo : Amérique Arctique , Alaska ,Groenland – crâne dolicho- ou mésocéphale , mâchoires fortes, très petites extrémités , taille faible.
– la race amérindienne : Indiens d’Amérique de la Terre de Feu au Canada – pilosité réduite, cheveux épais, divisée en six sous-races :
 * nord-atlantique ( indice céphalique 78/80 ) Sioux Iroquois, Mohicans, Natchez
 * nord-pacifique ( indice céphalique 84/87 ) Tlinkit, Shus-wap, Chinook des Montagnes Rocheuses
 * sud-atlantique ( indice céphalique 80/82 ) Indiens d’Amazonie
 * sud-pacifique ( indice céphalique 82/88 ) du Mexique à la Patagonie, descendants des Aztèques, des Mayas et des Quichuas
  * pampéenne ( indice céphalique 85 ) Patagons
 * fuégienne ou paléo-amérindienne ( indice céphalique 76/77 ) front bas et léger prognathisme.
– la race indonésienne : Indochine et Indonésie – petite taille, mésocéphale, cheveux ondulés, yeux peu bridés et nez aplati
– la race polynésienne : Îles du Pacifique, de Hawaï à la Nouvelle-Zélande et l’Île de Pâques en passant par Tahiti – grande taille, peau brunâtre, visage ovale, crâne brachycéphale ( indice céphalique 83/84 sauf à l’Île de Pâques où il est de 74 )
Races-types de la grand’race noire
La grand’race noire est principalement divisée en sept races-types, dont quatre en Afrique:
– la mélano-africaine ( Afrique tropicale) grande, épaules larges, bassin étroit, nez épaté : Bantous, Cafres, Zoulous
– l’éthiopienne ( race stabilisée après un très ancien métissage entre Noirs et Méditérrannéens ) absence de prognathisme, nez droit, cheveux frisés ou ondulés, peau brune : Abyssins, Somalis, Masaïs, Peuls.
– la négrille ( pygmées) membres inférieurs courts, pilosité assez forte, mésocéphale ( indice céphalique 78/79 ) Cameroun, Gabon, Congo
– la khoisan ( Afrique méridionale ) Boschimans, Hottentots : faible taille, crâne petit, femmes stéatopyges ( = gros cul proéminent )
– la mélano-indoue ( Inde méridionale, Ceylan ) cheveux bouclés, prognathisme très réduit, taille faible
– la négrito : Pygmées asiatiques Philippines , Malaisie, Îles Andaman , brachycéphale ( IC 79-83 ) , le membre inférieur n’est pas court comme celui des négrilles, le pied est tourné vers l’intérieur
– la mélanésienne : Noirs d’Océanie, comprenant les Canaques de Nouvelle-Calédonie, les Papous de Nouvelle-Guinée, les habitants des îles Fidji : cheveux très abondants, arcades souriclières très proéminentes, crâne très allongé, front fuyant.
Races-types de la grand’race blanche :
Aïnou: îles Hokkaidô ( nord du Japon) et Sakkaline (au-dessus, russe) petite taille, trapue, mésocéphale, descendants d’une population blanche ayant jadis peuplée la Sibérie.
Alpine : Corps trapu , cheveux brun, nez court, brachycéphale – Irlande -> Bretagne -> Massif Central français -> Ukraine
Anatolienne : Turquie, Arménie, Kurdistan, Liban, Syrie – brachycéphale , nez très long à racine remontant jusqu’au front, grandes oreilles – Kurdes et Juifs “askenaze”
Dinarique : Brachycéphale, occiput plat , forte pilosité – de la Savoie et du Tyrol à l’Albanie et jusqu’en Arménie.
Est-baltique : Brachycépahle, peau très claire, pommettes proéminentes – Russie d’Europe, Pologne, Lituanie, Lettonie, Estonie, Finlande,
Indo-afghane : de l’Iran au Pendjab, peau plutôt claire, taille haute, cheveux ondulés ( Afghanistan, Pakistan ) les Tziganes en sont une descendance émigrée en Europe
Lapone : Corps trapu , cheveux lisses, face plate, brachycéphale – nord de la Scandinavie
Nordique : Grande taille, cheveux clairs, yeux bleus ou gris, dolicocéphale – nord de l’Europe, de la Flandre à la Scandinavie, Grande-Bretagne.
Méditerranéenne : peau assez pigmentée, cheveux noirs et ondulés, nez droit saillant, dolichocéphale
Sud-orientale : peau mate, Sémites = Arabes du Proche-Orient et Juifs “sépharades”
Touranienne : réparti de la mer Caspienne à l’ Altaï ( Turkmènes, Kirghiz, Usbek et Tadjik) Kazakhstan, Turkménistan, Ouzbékistan
Conclusion
 De par sa localisation, la race méditerranéenne a été amenée à souvent se métisser, qui avec les populations noires d’Afrique, qui avec l’envahisseur oriental … souci que n’a pas eu la race nordique, isolée pendant les millénaires de sa formation ! Pour comprendre pourquoi, un peu d’histoire … ou, plutôt , de préhistoire : il y a 40.000 ans, deux races d’Homo sapiens peuplaient l’Europe habitable et l’Afrique du Nord : l’homme de Laugerie-Chancelade et l’homme de Cro-Magnon _ respectivement Homo priscus et Homo spelaeus d’après Vacher de Lapouge (http://www.contreculture.org/AT_VacherdeLapouge.html)  . Ils étaient tous deux dolicocéphales , clairs de peau avec les yeux et le poil noir, mais Cro-Magnon est plus grand et élancé, moins massif que Laugerie-Chancelade . Etroitement apparentées, ces deux races vont être séparées après -18.000 , lorsque s’ouvre, en Amérique , le détroit de Floride : le Gulf Stream, qui allait buter sur les côtes de l’actuel Sahara et dont les vapeurs tièdes s’y déversaient pour y entretenir une luxuriante végétation et des fleuves abondants , s’en va désormais vers le nord de l’Europe. Un dégel s’ensuit, une partie de la faune d’alors — mammouths , rhinocéros laineux, félins à dents de sabre — s’éteint, mais les rennes, gibier principal de ces hommes , remontent vers le nord .
Homo priscus va rester sur place, en Europe comme en Afrique du Nord, et pour s’adapter à ces nouvelles conditions de vie va devenir petit à petit l’Homo méditerranensis , le petit dolicocéphale gracile et brun qui peuplera la péninsule ibérique, les Baléares , la moitié sud de l’Italie , la Sardaigne, la Corse … la race méditerranéenne .
Mais Homo spelaeus va suivre les rennes et remonter vers le septentrion ; or en ce temps-là les côtes y sont bien différentes de maintenant : l’énorme calotte polaire qui avance sur l’Amérique et la Sibérie a soustrait une telle masse d’eau aux océans que le niveau d’eau planétaire a baissé de plusieurs dizaines de mètres . Il s’en ensuit que , là où se trouve actuellement la glaciale mer du Nord, se trouve une immense plaine alluviale marécageuse , directement exposée au Gulf Stream et largement ouverte au vent du nord ; il n’y gèle ni neige donc jamais, mais n’y fait jamais chaud non plus ; le ciel y est perpétuellement couvert , et le sol constamment humide est couvert de vastes prairies où paissent de nombreux herbivores, tandis que le gibier d’eau prolifère dans les marais . L’homme de Cro-magnon va donc s’y installer . Du fait des conditions climatiques, au cours des millénaires sa peau va se dépigmenter , ses yeux claircir, et son caractère adopter la froide énergie qui caractérise la race nordique . Ce n’est que vers -4.500 que, la fonte des glaciers relevant le niveau des eaux, il commencera ses migrations vers la vallée de l’Indus pour y fonder les prestigieuses civilisations que l’on sait .
De tout cela il ressort qu’en dépit de leurs différences phénotypiques actuelles, race nordique et race méditerranéenne sont étroitement apparentées , et qu’un individu de la seconde n’ayant pas été déchu par un métissage inapproprié peut faire un Aryen tout aussi valable qu’un représentant de la première , chose amplement prouvé par le plus célèbre d’entre eux, le docteur Josef Goebbels :
   Ci-dessous, cordiale visite du bon docteur , ministre de la propagande du Reich, à Fernandel, Elvire Popesco et Jules Berry en tournage , à Berlin, pour la coproduction franco-allemande « L’héritier des Mondesir », du réalisateur belge Albert Valentin :
²  Comme toute classification, celle-ci part d’un critère donné – ici, la couleur de peau – puis s’enrichit de toutes les autres différences. On peut préférer d’autres critères, ainsi le bon professeur Henri Victor Vallois (1889-1981), paléontologue français réputé, opta pour une typologie anthropologique historique et compta donc quatre grand’races, la première descendant du pitécanthrope et les trois autres de divers groupes de sinanthropes :Henri Victor Vallois [1889-1981]

220 réflexions sur “Les races humaines

  1. zaezr dit :

    Actuellement , on constate que le concept de la « blondeur » est absorbé par la blancheur , dit autrement , l’homme blanc , noie l’homme bond .

  2. Santa Fe dit :

    L’Atlantide a été retrouvé en Maurétanie c’est le fameux œil du Sahara.
    Le berbères sont donc les descendants des atlantes.

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